Dreno : On va chasser un truc extraordinaire !

Ce matin, Dreno était d'humeur aventurière. Il avait eu vent de l'apparition d'un énorme animal à la frontière des marécages et s'était mit en tête de l'attraper. Certains affirmaient avoir vu un éléphant, ce qui était sûrement faux, quelques personnes étaient sûres qu'un coyote rôdait dans les parages, d'autres encore pensaient qu'il sagissait d'un tigre. Ne connaissant pas la nature exacte de la bête en question, il décida de ne pas y aller seul, de peur de croiser un de ces félins assoiffées de sang. Il pensa tout d'abord à Morwyn, son chef. Mais quand il passa près de sa tente, il comprit qu'elle était partie chasser à l'aurore et que cette traque ne serait pas la bien venue. Il chercha alors un compagnon parmis les différents guerriers du clan. Son regard se posa sur une jeune femme du nom de Lyrina. Elle avait fait ses preuves en tant que chasseresse et se débrouillait bien avec une dague. Le lieutenant avait déjà sympatisé avec elle mais leur relation était restée très vague. C'était la seule qui l'avait déjà surpris lors de ses balades noctures, elle avait toujours gardé le secret. C'était une femme assez mystérieuse mais elle avait un sacré humour rivalisant presque avec celui du jeune homme. Il se leva et alla la rejoindre devant l'entrée du camp :

-Bonjour sous-fifre ! Tu ne m'as pas encore préparé mon petit déjeuné ? Tu mériterais l'exil !

Ne lui laissant pas le temps de répliquer, il poursuivit, riant :

-Désolé, ça m'a échappé. Tu voudrais aller chasser avec moi ? Il paraît qu'un énorme animal rôde près des marécages. J'adorerais l'attrapper.

Il lui lança un regard qui voulait tout dire, il avait envie de s'amuser. Accompagné d'un sourire charmeur, qui n'était déstiné qu'à l'énerver un peu plus, il s'approcha d'elle et lui dit encore :

-Alors ?

Il attira son attention sur son visage, trop près du sien à son goût, et lui fit un croche-pied. Eclatant de rire, il se prit un coup de poing en pleine tête, ce qui ne l'enpêcha pas de rire encore et encore. Il se releva lentement et essuya ses larmes de rire. Il aimait vraiment le comportement de cette Lyrina. Peut être deviendrait-ils amis ?!

Elle se leva toujours avec sa bonne humeur, puis sortie la tête et vit quelque guerriers lève tôt, y compris Dreno, le lieutenant du clan, elle alla voir la reserve, elle était à moitier vide, puis quand elle se retourna Dreno était devant elle, elle s'avait qu'il était farceur mais elle était calme et de bonne humeur juasqu'à la phrase du lieutenant.

-Bonjour sous-fifre ! Tu ne m'as pas encore préparé mon petit déjeuné ? Tu mériterais l'exil !

"C'est fou, il a le don de rendre les gens de mauvaise humeur cellui-là !"mais avant de la laisser parler il répondit en riant.

Désolé, ça m'a échappé. Tu voudrais aller chasser avec moi ? Il paraît qu'un énorme animal rôde près des marécages. J'adorerais l'attrapper.

Il lui lanca un regard, elle compris que aujourd'huis il voulait s'amuser, il lui lanca un sourire charmeur, Lyrina s'avait que c'était pour l'énerver et pour énerver le jeune lieutenant elle lui fit un sourire, puis il s'approchat d'elle encore plus et lui lanca.

Alors ?

Elle se concentra sur le visage de Dreno qui était trop près du sien pour elle, puis il lui fit un croche pied, elle se releva aussi tôt, le lieutenant éclata de rire et elle lui donna un coup de poing en pleine figure tellement fort qu'il en tomba, elle ne peut s'empècher de rire, il se mit a rire aussi, puis il se leva lentement et essuya ses larmes de rire.

Alors, tu est sûr de vouloir recommencer un jour ? Dit-elle en éclatent de rire.
Et oui, je veut bien aller chasser avec toi, moi aussi j'ai entendut parler de cet étrange animal j'aimerai vraiment savoir se que c'est ! Dit-elle avec enthousiasme.

Elle se dirriga vers sa tente pour aller chercher ses armes, puis elle se dirriga vers l'entrée du camp.

Tu vien ? Tu est pire qu'un escargot !Dit-elle en ricanant.

Elle s'avait que cette insulte aller le faire bouger alors sans l'attendre elle sortie du camp, et se dirriga vers les marrécage quand elle entendit un bruit, elle regardat dans tout les sens, mais elle savait que c'était Dreno, puis elle grimpa a un arbreet attendit de le voir, elle ne voulait pas encore se faire piéger par une de ses blagues mais cela ne lui poser aucun problème qu'il se fasse piéger par une de ses blagues à elle, elle avait un esprit très farceur et elle en était fier. Comment serait le monde sans les rires ?! Rien, se serait un monde de guerre permanante, un monde triste, sans la joie des blagues des esprit comme le sien.

Dreno : Euh... Pourquoi moi ?

Il la vit sourire de toutes ses dents et croisa les bras en attendant sa réponse, toujours secoué par quelques fous rires.

-Alors, tu es sûr de vouloir recommencer un jour ? Articula-t-elle, pliée sur elle même pour étouffer son rire. Et oui, je veut bien aller chasser avec toi, moi aussi j'ai entendu parler de cet étrange animal, j'aimerais vraiment savoir ce que c'est !

Elle entra dans sa tente et en sortit rapidement, portant sur elle un arc, neuf ou dix flèches sans oublier son poignard. Elle s'arrêta à la sortie du camp et lui lança, joyeuse :

-Tu viens ? Tu es pire qu'un escargot !
-Non mais sale... Je vais te faire regretter ces paroles !

Il courrut à sa suite, la poursuivant à travers les arbres et les bosquets. De temps en temps, il la rattrapait, mais elle avait une force à ne pas négliger et s'en servait intelligemment tel qu'il ne pouvait la retenir très longtemps. Ils continuèrent ce jeux jusqu'aux marécages. Là, Dreno la plaqua au sol sans qu'elle ne se défende. Il se releva, jeta un bref regard sur le paysage et communiqua sa conclusion :

-Je vois. Il n'y a aucune bête féroce ici. On nous a bien trompé.

Le lieutenant regarda à nouveau autour de lui, tendant l'oreille. Nul bruit ne laissait transparaître le présence d'un animal dépassant la taille d'un lapin dans les environs. Il se tourna vers elle et sortit d'un air las :

-Bon, on rentre ?

Il tourna les talons et commença à rebrousser chemin lorsqu'il entendit un bruit de sabots. Un cheval ? Un boeuf ? Non, c'était un bruit plus mat, lourd. On aurait pu le comparer au tonnerre avertissant les hommes des orages environnants. Dreno eu à peine le temps de se jeter sur le côté qu'une énorme masse poilue passa en trombe là où il se tenait une seconde plus tôt. Du haut de l'arbre le plus proche, il distingua la tête de la bête : UN BISON !
C'était une créature terrible possédant une puissance motrice incontestable. Mais il était très rare d'en voir au beau milieu de la forêt, surtout en cette saison car les bisons sont connus pour vivre dans des milieux secs et venteux, pas dans des marécages à l'abrit du vent.
Cherchant la guerrière des yeux, le jeune homme la vit assise sur une branche dans un pin face à lui. Il tenta de s'approcher de l'animal mais celui-ci prit la fuite.

-On l'a trouvé ! T'en penses quoi ? On essaye de le choper ?

Bien qu'il connaisse sa réponse, il tenait à lui demander son avis car il la repectait trop pour lui ordonner de suivre cette bête. Il savait que son coeur était prit, mais sa présence le réconfortait. Elle était très belle, drôle et possédait un sens du devoir sans aucune faille. Avoir son amitié était une grande joie pour lui et il tenait à la garder. Quand on gagne une ou un ami, on ressent toujours du bonheur, de la satisfaction quelques fois. Souvent, c'est bien après avoir quitté cette personne, lorsqu'on est prêt à dormir par exemple, qu'on s'aperçoit qu'elle est devenue plus proche de vous, qu'elle fait partie de vos amis. C'est tout le mystère de ce sentiment merveilleux. En revanche, quand on en perd un, on s'en rend compte tout de suite. On a l'impression qu'une part de nous même a été arrachée. C'est pour cela qu'il ne faut jamais les trahir, les délaisser ou même se moquer de leur opinion ou de leur choix. L'amitié est comme une plante, il faut l'entretenir, la protéger. Si on l'oublie, elle meurt. Mais si on s'y prend à temps, on peut la sauver et la rendre plus belle encore. Dreno pensait que l'amitié était une valeur forte et solide qu'il ne falait pas négliger, et il n'avait pas tort.
Sortant de ses pensées, il vit Lyrina lui faisant signe de passer devant. "Pourquoi moi ? Elle peut pas le tuer toute seule ?" Il descendit et se mit à courir en suivant les traces de sabots sur le sol. Il arriva au milieu d'un champ de roseaux entouré de pins désapés. C'était une zone encore plus sinistre que la forêt sombre avec son sol spongieux et ses crapauds crôassant de tous côtés. Il aperçu le bison qui se retourna d'un coup et le chargea. Avant qu'il n'ai le temps de réagir, il se faisait percuter de plein fouet. Son poignard tomba au-dessus de sa tête et sa lance voltigea parmis les nénuphars, éclaboussant le jeune homme qui était toujours à terre. Lorsqu'il entendit une nouvelle fois le martèlement des sabots de l'animal en furie, il crut que c'était la fin.

Tu vien ? Tu est pire qu'un escargot !Dit-elle en ricanant.

Elle s'avait que cette insulte aller le faire bouger alors sans l'attendre elle sortie du camp, et se dirriga vers les marrécage quand elle entendit un bruit, elle regardat dans tout les sens, mais elle savait que c'était Dreno, puis elle grimpa a un arbreet attendit de le voir, elle ne voulait pas encore se faire piéger par une de ses blagues mais cela ne lui poser aucun problème qu'il se fasse piéger par une de ses blagues à elle, elle avait un esprit très farceur et elle en était fier. Comment serait le monde sans les rires ?! Rien, se serait un monde de guerre permanante, un monde triste, sans la joie des blagues des esprit comme le sien.Puiselle fut plaqué au sol par Dreno.Il se releva et regarda le paysage.Elle jeta un coup d'oeil à son tour.Rien.Il n'y avait pas d'animal énorme comme on le raconte.

Je vois. Il n'y a aucune bête féroce ici. On nous a bien trompé.

Puis Lyrina baissa la tête deçus.Elle vit Dreno regardé encore une fois.

Bon, on rentre ?

Elle se leva et rebroussa le chemin.Puis un bruit étrange lui vint aux oreilles.Des sabots ! Elle sourit.Enfin ils allé s'amusé.Puis un énorme animal marron et très poilus faillit les percuté.Elle grimpa dans un arbre pour observé la bête.C'était un bizon !"Un bizon ?! Ici ? Au marécage ? C'est étrange...Mais bon autant en proffitait.

On l'a trouvé ! T'en penses quoi ? On essaye de le choper ?

Elle aquiesça d'un signe de tête.Puis elle lui fit signe de y allé le premier comme ca il pourrait servir d'appat et elle attaquerait la bête pas surprise.Elle n'eu le temp de prévenir Dreno de son plan quand il commenca à courir en suivant les trace de sabot au sol.Elle le suivat du haut des arbres.Il s'arrêta dans un champ plein de roseaux.Elle le perdit des yeux et lorsqu'elle entendit les martelement de sabots au sol une peur s'emparra d'elle.Puis elle descendit pour voir se qui se passé.Elle vit le bizon perquté Dreno.La peur devint de plus en plus forte et elle descendit sans réfléchir.Elle entendit les sabots qui se raproché du lieutenant.Elle se mit à courire son arc à la main.Puis une fois arrivé à côté de Dreno elle prépara son arc et tira.Et tira encore.Mais les flèche de la guerrière n'avait pas arrêté le bizon.Elle sortie son poignard et sauta sur le bizon pour lui poignardé la tête.Elle lui enffonca le couteau dans la tête et la bête s'écroula brusquement.Lyrina tomba en même temp et roula à terre.Elle se releva aussi tôt.Elle se tourna vers le lieutenant.

Ca va ?

Elle marqua une pose.

Tu l'a échapé belle ! Heureusement que j'était là ! Dit-elle en riant.

Elle aimé le taquiné.Elle sourit.Elle comprit soudain pourquoi elle avait eu peur.C'était plus que son lieutenant, c'était un très bon ami.Puis elle alla voir le bizon.Elle le regarda attentivement.

Eh ben ! Elles sont grosse c'est bête là !

Puis elle regarda le regard vide de la bête.Qui tou d'un coup se mit à la regardé .Il n'était pas mort ! Un crie de surprise lui échappa.

Et ca à du mal à mourire aussi !

Puis le bizon se releva et pietina le sol.

Il à l'ère très énervé .

Puis le bizon les fixa et commenca à chargé.Nul ne sais si ils vont sent sortir.

Le martèlement des sabots de l'animal se faisait de plus en plus fort. Dreno essaya de se relever mais il était paralysé et sa chute avait était douloureuse. Soudain, un bruit rapide et bref parvint à l'oreille du guerrier. Il vit une flèche passer près de lui et filer vers l'animal. Puis deux, trois, cinq. Aucunes ne transperçait la peau rocailleuse du bison. Les flèches venaient de Lyrina. La jeune femme sortit son poignard et entailla la tête de la bête qui tomba à terre. Dreno, qui s'était relevé pendant l'attaque, recula et ratrappa son poignard.

-Ca va ?
-Ouais, cool. Je vais super bien.
-Tu l'a échapé belle ! Heureusement que j'étais là !

Il avait envie d'enlever le sourire sur la bouche de la guerrière mais ne bougea pas. Elle avait le droit de rire, elle avait tout de même abattu un bison. Tournant autour de leur prise, chacun paraissait impréssionné.

-Eh ben ! Elles sont grosse c'est bêtes là !

Lyrina fixait le visage de l'animal. Ses yeux vides et voilés par la mort semblaient étranges. Dreno vint se poster à côté d'elle et commença à les regarder, sans broncher. Une sorte d'étincelle aparut dans ses yeux et le bison porta son attention sur Lyrina. Il n'était pas mort.

-Et ça à du mal à mourir aussi !

Reculant lentement vers le couvert des arbres, il serra son poignard dans sa main droite et déchira un morceau de tissu qu'il avait dans sa sacoche. Il l'enroula dans sa main gauche et indiqua à Lyrina un arbre frappé par la foudre de l'autre côté de la bête. La jeune femme s'y rendit tendit que le bison frappait le sol de ses pattes avant. Il chargea vers la guerrière et Dreno sauta sur son dos. Il fit son possible pour amener l'animal sous l'arbre carbonisé. Lyrina sauta de son perchoir et atterritt sur la tête de son agrésseur. Là, chacun oeuvra à sa manière. Dreno prit la place de la jeune femme devant et enroula sont bout de tissu autour de la tête du bison pour le ralentir. Menquant d'air, celui-ci fut contraint de reprendre son souffle, et donc de s'arrêter. Pendant ce temps, Lyrina était descendue de la monture et tailladait les flancs de l'animal. Dreno attirait sont attention en le frappant à la tête tout en l'empêchant de se retourner afin de laisser libre cours à la jeune guerrière. Chaque coup affaiblissait un peu plus leur proie. Mais elle était résistante. Quand elle réussit à déchirer l'écharpe de tissu qui l'empêchait de respirer normalement, elle reprit du poil de la bête et chargea. Le lieutenant tomba à terre et Lyrina fusa sur le côté. Sur le côté droit, elle saignait légèrement mais le jeune guerrière n'avait fait que l'érafler. En effet, un bison possède une force régénératrice hors-normes. Ses blessures ne le faisaient donc pas souffrir. Comment battre un colosse pareil ! Attrapant sa lance, Dreno la planta dans la patte de l'animal. Du sang jaillit. La bête poussa un grognement étrange avant de s'enfuir.

-On la suit !

Courrant derrière sa proie, il accélérait, frappant quelques branches de temps en temps. Quand il eu courru plus de 20minutes, il du se rendre à l'évidence, le bison était trop loin, il ne le rattraperait pas. Lyrina était toujours à côté de lui. Ils suivirent les traces de la bête quand l'espoir revint. Elle s'était assoupi dans une clairière près des chutes.

Le bizon martelait le sol de ses sabots.Dreno indiqua à Lyrina un arbre completement carbonisé.Elle s'y rendit tendit que la bête chargé en sa direction.Le lieutenant sauta sur son dos pour l'amené a l'arbre.Lyrina sauta et attérit sur la tête du bizon.Elle sortie son poignard et échanga de place avec le lieutenant.Elle descendit pour planté son couteau dans les flanc de la bête.Elle planta son poignard de plus en plus fort mais il était très résistant.Comment allait-ils si prendre pour tué une bête pareille ? Lyrina l'ignorer.Elle se contenta de le poignardé encore et encore.
Lorsqu'elle vit le bout de tissu qui était autour de sa tête se déchirer elle recula mais le bizon charga et elle fut bousculé sur le côté.Le lieutenant attrapa sa lance et la planta dans la patte du bizon.Du sang jaillit de sa blessure.Il poussa un crie et s'enfuit.

On la suit !

Ils se préssipita a la poursuite de leur proie.Ils courrurent pendant 20 bonne minutes.Lyrina entendit le bruit des chutes.Ils était allé loin.Puis ils se stopèrent.Le bizon était beaucoup trop loin pour eux.Ils suivirent tout de même les traces de la bête.Puis un peut plus loin au pied des chutes dans une clairière.Une masse de poil c'était assoupit.Le bizon.La lance était toujour planté dans sa patte.Elle s'éclipsa par le côté.Aprochant discrètement sans se faire voir par la proie.Elle s'approchat encore.Quand elle courrut vers lui.Elle sauta sur la lance et l'emporta en roulent sur le sol la bête poussa un crie d'horreure, dans un mouvement très vif elle planta la lance dans le côté gauche de la tête du bizon.Il ne bougé plus.Il ne respiré plus.Il était mort cette fois.Elle regarda le jeune lieutenant.Il semblait tout de même surprit mais ne le montra pas longtemp.Elle posa son regard sur le bizon.Pour vérifié qu'il était bien mort elle bouga un peut c'est patte.Rien.Il était bien mort.Lyrina fut soulagé.Ils avait enfin réussit.

Oui. La bête était à eux. Voir un tel monstre couché sans défense fut un spectacle qu'ils n'oublieraient pas. Et ça leur avait fait passer un bon moment. Un très bon moment même.

-On est les plus forts !

Mais maintenant, il falait la rammener au camp. Dreno chercha un quelconque moyen de transport et vit quelques tiges de caoutchouc, un bois incroyablement elastique qui ferait une parfaite corde. Attachant les pattes de l'animal à une branche solide qu'il posa sur son épaule, le guerrier tira l'animal en le trainant jusqu'à l'arbre mort. Ensuite, Lyrina le relaya. Elle avait bien moins de chemin à faire et pressa donc le pas. Ils arrivèrent au camp, un peu fatigués tout de même, et poussèrent un cris de victoire. Ce soir, on allait faire la fête ! Tous affluèrent pour contempler la belle prise. D'accord, c'était Lyrina qui avait fait le plus gros du travail mais seule, elle ne l'aurait pas eue. Il a fallut que le lieutenant détourne son attention et l'attaque de front pour que les coups aériens de la jeune femme portent. Ils répondirent aux questions de leurs camarades de camp avec un dynamisme quilaissait entrevoir que les combats avaient été riches en émotions. Mais comme Morwyn était absente, ils attendirent son retour pour commencer le festin. Pendant une heure, Dreno dormit donc d'un sommeil de plomb.
Dans ses rêves, il voyait des images défiler à une vitesse alucinante. Des lances, des combats, du sang. Mais aussi des fleurs et un soleil radieux. Des dizaines de paysages se succédèrent mais partout il voyait la même personne : une louve. Il n'apercevait pas son visage. Seulement ses cheveux de jais, ses bras et même ses jambes par moments. Elle était belle. Brillante comme un saphir, combative. C'était une bonne guerrière. Ses gestes étaient précis et souvent déisifs. Quand elle ne combattait pas, son calme et son air un peu sévère étaient tout aussi séduisants. Et lorsqu'elle courrait, on aurait dit une flèche. Rapide, agile, légère. Ni Lyrina ni Morwyn, qui étaient pourtant des voltigeuses hors-pair, ne lui arrivaient à la cheville. Il exagérait peut-être un peu. Mais comme c'était un rêve, personne ne lui en voudrait. Enfin, il pu entrevoir son visage. Une déesse. Voilà le premier mot qui lui vint à l'esprit. Il n'avait jamais vu cette personne, il en était sûr. Enfin, pas aussi belle, éblouissante, divine. Elle lui rapellait quelqu'un. Qui ? Il cherha sans cesse mais ne fit que se retourner sur son lit de paille. L'image de la jeune femme l'appela.

-Dreno...
-Dreno...
-Debout...
-Aller fénéant, debout !

Il ouvrit les yeux et le visage changea soudain. Ce n'était plus une déesse mystérieuse mais une jolie guerrière aux yeux argentés et au sourire d'ange. Cet ange là était réel.

-Lyri... Chuis creuvé... Le bison ! Morwyn est revenue ?

La journée lui était revenue d'un coup et il avait sauté sur ses pied en prononçant ces derniers mots. La jeune femme qui était à genoux hocha la tête. Il l'aida à se relever et ils partirent tous deux vers le charnier. Le feux avait bien été alimenté de façon à bien montrer que c'était jour de fête. La viande de bison bien cuite que les plus jeunes guerriers avaient préparée était exquise. Accompagnée de jus de fruits préssé pour l'occasion et de quelques lapins bien gras qui étaient tardifs pour hiberner, ils mangèrent tous plus que de raison tout en dansant autour du feu. Le vent leur jouait de la musique que quelques guerriers rythmaient avec des instruments en bois. Prenant la main de son amie, Dreno emmena Lyrina au milieu des guerriers qui avaient terminé leur repas et ils dansèrent, rièrent et crièrent jusqu'au petit matin. Tous avaient oublié la guerre et les problèmes du quotidien. Il n'y avait plus que de la joie et des rires.
Le lendemain, trois jeunes qui n'avaient pas tenu et s'étaient endormi avant les autres, montaient la garde tandis que le lieutenant ouvrait les yeux couché dans l'herbe. A sa droite, Lyrina dormait à poings fermés prenant son bras comme oreiller. A sa gauche, Morwyn qui sommeillait également mais ne le touchait pas. Il aperçut les jeunes garçons debout devant l'atroupement et se rendormit entre les deux jeunes femmes, souriant. Une image hantait cependant sa mémoire : la louve aux cheveux noirs de ses rêves ne quittait pas ses pensées.

Je sais mais les DDB tu les à bien mit sur le compte d'Agnou ?

Ok XD